Lettre de Paris N°10

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Mon cher cousin,

je vous écris de nouveau afin de vous faire part des nouvelles de notre chère France. Au menu cette fois, un pays qui renie son histoire, un comédien persécuté et une dictature que ne dit pas son nom. J’espère que vous avez fait le plein de bonne humeur ces derniers jours car les temps sont durs, les temps sont mûrs.

Tout d’abord, quand je croyais une nouvelle fois quelque peu naïvement que l’Anti-France ne pouvait aller plus loin dans son reniement de notre histoire commune, je fus une nouvelle fois surpris. En effet, il y a peu, dans le fier et vaste pays de Russie fut retrouvé les ossements d’un illustre général napoléonien. Le grand général Gudin. Ce fier général d’empire qui fut présent lors des grandes victoires d’Auerstedt mais aussi à Austerlitz et à la grande bataille d’Eylau. Ce dernier périt suite à Smolensk en Russie. Cependant mon cousin le corps de ce fier général demeurait jusqu’à alors introuvable. Il fut en effet retrouvé en dans la nation de l’ours russe. Rappelez vous mon cousin que cette année fut aussi celle des commémorations du bicentenaire de la mort de Napoléon, le rapatriement de sa dépouille ne pouvait que convenir à la situation. Cela aurait été trop beau pour être vrai mon cousin. Nous ne sommes plus dans un Etat libre qui célèbre fièrement son histoire. Au contraire tout est fait pour la salir, la falsifier, la rendre détestable par nos moutons de Panurge. L’occasion aurait été trop belle, magnifique réception de cette dépouille en grande pompe, célébration de notre histoire, ne rêvons pas, nous sommes en France occupée. L’occasion aurait aussi permit de tenter un rapprochement diplomatique avec la Russie, ne rêvons pas nous ne sommes pas un Etat souverain. L’occasion était là pour célébrer un grand homme, ne rêvons pas, nous ne les célébrons plus. Le rapatriement de sa dépouille se fera mon cousin, dans une discrétion qui nous fait honte. De plus le rondouillet et ventru maire de la cité de Montargis, Benoît Pigeon ( un très beau morceau sous OGM maçonnique) a quant à lui refuser d’acceuillir la dépouille et d’y construire un mausolée. Notre fier général étant pourtant originaire de cette ville. Vous voyez une nouvelle fois mon cousin une énième preuve des souillures de l’Anti-France sur notre Nation. La Grande Nation comme la vielle garde ne se rend pas !

Pour poursuivre, dans un sujet plus actuel et moins grandiloquent, mais tout aussi actuel, notre cher humoriste national Dieudo, a encore subi les foudres du système. Après un formidable weekend passé au fameux et glorieux bal des quenelles la semaine passée, la réalité nous a vite remis les pieds sur terre. Finit le nuage euphorique, finit le rire, place aux réjouissances sonnantes et trébuchantes. Notre saltimbanque préféré a subi de plein fouet l’hystérie collective et judiciaire qui s’est abattue sur lui. Il fut tout d’abord condamné dans pas moins de 3 affaires différentes dans notre cher hexagone à 4 mois de prison et près de 15 000 shekels…pardon euros d’amende. Pour quelles raisons me direz vous mon cher cousin ? Mais après tout oui, pour quelles raisons la fameuse patrie des droits de l’homme peut elle condamner un humoriste ? Tout simplement car notre France est devenue la colonie d’un minuscule Etat du Moyen-Orient. Ni plus, ni moins. Ces mêmes qui sont les véritables faussaires de notre histoire, sont aussi les fossoyeurs du rire. En effet mon cousin, en France la liberté d’expression n’est plus qu’un lointain souvenir, même rire est devenu un acte subversif. Mais cela n’arrive qu’en France me direz vous, j’aimerez vous répondre que oui mon cousin. Or même chez notre voisin helvétique, l’aventurier de l’humour est poursuivi par des associations communautaires de la haine. On lui réclame pas moins de 33 000 euros pour les propos d’un sketch. Ces associations ne représentent aucune communauté sinon eux-mêmes, ne combattent en rien la haine mais en sont l’incarnation. A distiller la haine on la cultive. Ils sont les premiers semeurs de cette rancœur qui monte dans notre petit peuple. Au plus leur illégitimité est visible, au plus la colère montera jusqu’à un point de non retour. J’espère que nous n’en arriverons pas là , car ce sont bien trop souvent les innocents qui payent les pots cassés. Malheureusement je ne connais que trop bien mon histoire.

Dernière nouvelle de notre colonie mon cousin, nous sommes tout simplement en train de devenir de véritables rats de laboratoires. A été évoqué afin de mieux préparer la masse, la loi de vaccination obligatoire. Tiens donc ! Les horribles complotistes ravisseurs d’enfants et fanas de conspirations ont-ils eu juste une nouvelle fois ? Il semblerait que oui, notre cher Tristan la malice et Rudy la poisse ne pourront y faire, diabolisez qu’ils disaient ! Ils n’y manqueront pas, cependant les faits nous donnent une nouvelle fois raison. Notre force est d’avoir raison comme le disait la Royale, nous avons souvent raison trop tôt. Lorsque personne ne veut voir ou savoir. Vous savez mon cousin, il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Nous avons informé, prévenu, rien à faire ! Le gogoy ne veut rien savoir, on fonce sur la carotte ou on s’assoit dessus selon les sensibilités. Alors que ces fameux vaccins ne sont encore que des essais cliniques et des nouvelles méthodes scientifiques peu recommandables, établies par des personnes peu fréquentables, qu’à cela ne tienne ! Donnez moi ma dose qu’ils disaient ! Nos mondialistes nous considèrent comme des rats de laboratoires, et nous y consentons. Nous sommes aussi responsables de cette mascarade que nos gouvernants. De manière générale, nous passons dans une nouvelle phase, une phase ou la coercition sera la marche à suivre contre chaque citoyens récalcitrants. Toute tentative de s’unir sera vue comme une dérive sectaire, toute pensée marginale psychiatrisée, toute sortie de route de la doxa sera punie. Cela ne laisse rien présager de bon mon cousin. Mais cela ne pourra pas durer. La peur n’est pas une source de stabilité, elle change de camp au gré des rapports de force. Nous pourrions, à mon grand plaisir, avoir des surprises.
Voyez, mon cousin, comme l’état de notre nation et de son peuple se délite petit à petit. Restez bien où vous vous trouvez et comptez sur moi pour vous tenir informé.

En remettant notre sort et celui de la France à Dieu.

Affectueusement,

Votre dévoué cousin.

Lettre écrite par Le Cosaque